Une lutte non violente doit obéir à une stratégie
Un an après l’immolation du jeune Tunisien Mohamed Bouazizi, l’historien Jacques Semelin, directeur de recherche au CNRS (Centre d’études et de recherches internationales-Sciences Po) et spécialiste des résistances civiles, revient sur le phénomène de la lutte non violente contre les dictatures.
lemonde.fr, December 16, 2011